THORENS idler

[ThierryN]

Entrée de gamme  chez Lyra,  avec budget niveau SPU  et cela serait , selon certains commentaires, aussi bien qu'une Koetsu de base, et pour nettement moins cher.

Vous avez   des expériences d'écoute ?

Reste que  le look est loin d'une Koetsu ou d'une SPU, faut aimer le genre pâtisserie vanille-fraise:

je m'y intéresse car la compliance correspondrait   à mon bras lourd. Mais aucune d'occasion sur les sites de vente.

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Le vinyle est le futur antérieur de l'audio de qualité.

Don't worry about old age.....It doesn't last that long!

Dernière édition par ThierryN le Jeu 28 Aoû 2014, 20:09; édité 2 fois

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[pyrogene95]

il y a là un article interessant:


http://www.evmag.fr/site.php?page=audio125


copie pour l'archiver

Test : cellule MC Lyra Delos par Antoine Gresland    Prix : 1196 euros Date de publication : avril 2010 Surfant sur le regain d’intérêt pour les disques noirs, le cerveau des passionnés s’active chez les grands spécialistes de la lecture analogique pour extraire toujours plus d’informations du microsillon. Voici quelques mois, nous vous annoncions l’arrivée d’une sixième génération de cellules à bobine mobile chez Lyra avec la nouvelle Delos. Cette dernière se présente comme l’entrée de gamme des cellules MC du constructeur américain. Mais ne vous y trompez pas : cette petite chose de quelques grammes conceptualise une nouvelle approche de l’interaction entre le stylet et la bobine, qui devrait se retrouver progressivement sur l’ensemble des modèles de la gamme.    Quand la théorie s’allie au savoir-faire    Conçue par le designer Jonathan Carr en collaboration avec Yoshinori Mishima, le génial artisan japonais qui assemble à la main toutes les Lyra, la Delos tente de venir à bout de l’un des principaux problèmes des cellules MC stéréophoniques : l’asymétrie des champs magnétiques autour de la bobine pendant la lecture du disque. Théoriquement, les deux enroulements de la bobine fixés au levier porte-pointe devraient avoir le même angle que les aimants situés dans le corps de la cellule. Concrètement, l’application de la force d’appui normale pousse les bobines hors de l’alignement idéal avec le circuit magnétique, entraînant une asymétrie qui diminue très fortement la sensibilité et la linéarité des bobines, avec des résultats néfastes sur la qualité sonore.    Comme vous pourrez le remarquer sur les schémas ci-dessus (cliquez pour agrandir), Jonathan Carr s’est attaqué à ce problème de manière simple et élégante, en modifiant la structure du corps de la cellule et en adoptant un nouveau système d’amortissement du stylet. Ainsi, c’est au repos que l’ensemble constitué par le stylet et la bobine mobile est asymétrique, la force d’appui réorientant naturellement la bobine pour retrouver un alignement parfait avec le circuit magnétique pendant la lecture.    Comme toutes les Lyra, la Delos se passe de coque de protection, Jonathan Carr étant convaincu qu’un tel dispositif s’entend toujours et dégrade considérablement le potentiel musical de la cellule. Le papier léger comme un souffle qui recouvre la bobine et le circuit magnétique n’ayant pour vocation que d’éviter la poussière…    Mise en œuvre    La Lyra Delos est livrée avec une notice petite en dimension mais particu- lièrement complète ! Il va donc falloir se munir d’une loupe pour aller chercher l’information ! Rien de rédhibitoire dans l’absolu… si vous lisez l’anglais ! Sans doute est-il utile de rappeler qu’une cellule de qualité doit être installée dans les règles de l’art pour dévoiler son plein potentiel. Sa position sur la coquille, la hauteur du bras et l’ajustement angulaire avec le disque doivent être rigoureusement contrôlés en respectant le gabarit qui est en général fourni. Sur la photo de gauche, la Delos est alignée précisément sur le bras à l'aide du petit appareil fourni avec le bras Graham Phantom. L’angle d’attaque du sillon par la cellule découle logiquement du parallélisme du bras avec le disque, mais certains préféreront l’incliner légèrement vers l’avant pour favoriser le bas du spectre. Une affaire de goût que nous laissons à l’appréciation de chacun. Une fois installée, il faudra prendre soin d’appliquer la bonne force d’appui, de régler l’antiskating et d’ajuster la charge de l’entrée phono à la cellule. Dans le cas de la Delos, Lyra recommande moins de 100 Ω, une valeur que nous aurons l’occasion de vérifier à l’écoute…    Condition d’utilisation    Évidemment, tester une cellule dans l’absolu n’a aucun sens, puisqu’il faut bien prendre en compte le bras, la platine et l’entrée phono qui lui permettent de s’exprimer. Pour ce test, nous n’avons rien négligé pour mettre en valeur la Delos : l’ensemble de lecture qui nous servait de référence étant constitué d’une platine vinyle Michell Orbe, du bras unipivot Graham Phantom MK I, d’une cellule The Condor de chez Van Den Hull, et d’une entrée phono Aesthetix Rhea Signature.    Le système en lui-même comprenait également un lecteur de CD Nagra CDC, un préampli Moon P8, une paire d’amplis W5 du même constructeur, le tout câblé en biamplification passive sur une paire de ProAc Response 4.    La Michell Orbe est une vieille dame toujours d’actualité avec son circuit Never Connected (jamais connecté) qui isole totalement le contrôle du moteur de l’alimentation, évitant toute pollution en provenance du secteur. Cette mise à jour, qui date de 2004, est disponible pour les platines plus anciennes et vient s’ajouter à ses qualités d’origine : double châssis, avec sous châssis suspendu et amorti, plateau en acrylique et vinyle de 60 mm offrant une grande inertie, roulement de précision, moteur à courant continu avec circuit de rétrocontrôle de la vitesse… Sans oublier un look à faire frémir d’envie le plus blasé des audiophiles ! (cliquez pour agrandir)    Le Graham Phantom est considéré par beaucoup comme l’un des meilleurs bras de la planète. Résultat de plusieurs années de recherche, il porte le concept unipivot à son apogée avec son stabilisateur magnétique et ses réglages facilement accessibles. Le Phantom original , que nous avons utilisé pour ce test, a récemment évolué en version MK II, à travers un stabilisateur raffiné, un nouveau câblage interne et une mise à jour du dessin du pivot et du bras en titane pour une dynamique encore supérieure. Une vraie petite merveille à regarder, à utiliser et à écouter.  (cliquez pour agrandir)       L’Aesthetix Rhea est une entrée phono MM/MC à tubes de haut de gamme. Chacune de ses trois entrées est équipée de son propre réglage de gain et de charge, modifiable depuis la petite télécommande livrée d’origine. Si la version standard profite déjà de condensateurs de couplage Rel-Cap polypropylène, la version Signature utilise des condensateurs interétage hybrides au Teflon maison, et un certain nombre d’autres composants exotiques, tel que des tubes spécialement sélectionnés ou les pieds HRS Nimbus spécialement conçus pour elle.    La Van Den Hull Condor est une cellule de haut de gamme qui se présente comme un résumé des qualités de la Colibri et de la Frog. Son concepteur la présente comme la première cellule MC au monde à ne pas transférer de signal mécanique au bras de lecture (l’inverse étant vrai aussi !). La suspension est un système évolué à trois caoutchoucs et le corps de la cellule a été dépouillé de tout ce qui pouvait l’alourdir. Elle existe en plusieurs versions, à haut et bas niveau de sortie, et peut même être personnalisée en fonction des besoins et désirs du client.    Écoute comparative    Pour prendre conscience des qualités de cette nouvelle cellule Lyra, nous l’avons, d’une part comparé à la Condor, beaucoup plus chère, et, sur un certain nombre de disques (parmi lesquels With Chalk, de PJ Harvey, In Rainbows, de Radiohead ou encore Abbey Road, des Beatles, sans oublier le dernier disque de Lhassa dans leur version CD lu par le lecteur Nagra CDC, dont le contrôle de volume permet une mise à niveau rigoureuse des deux sources. Un préliminaire indispensable pour comparer objectivement deux supports aussi différents.    Première constatation : la Lyra Delos n’est pas une cellule « romantique », mais tente, au contraire, de rester dans la neutralité à travers un respect des timbres et de l’équilibre tonal très proche de celui du CD. Que l’on se comprenne : le vinyle n’a pas besoin d’en rajouter pour faire la différence avec ce support numérique, comme nous avons pu le constater, une fois encore, à l’occasion de nos comparaisons. Sur la grande majorité des disques que nous avons pu écouter à la fois en vinyle et en CD, la platine fait clairement la course en tête, tout particulièrement sur la musique acoustique et le classique. La restitution de la Delos apparaît plus naturelle, encore plus fluide et musicale que celle obtenue grâce au Nagra CDC qui met pourtant un point d’honneur à respecter ces paramètres. En revanche, ponctuellement, sur un album très chargé et travaillé dans le bas du spectre sur toute la largeur de la scène sonore comme le In Rainbows, de Radiohead, la structure même du sillon impose une certaine simplification de ce qui se passe en dessous de 100 Hz. Du coup, comparé au pressage vinyle de l’album, le CD prend clairement l’avantage, et ce, aussi bien avec la Lyra qu’avec la Van Den Hull. C’est particulièrement flagrant sur les nappes du clavier qui se baladent de droite et de gauche sur le CD, dans une zone du spectre où le vinyle impose peu ou prou la monophonie.    Mais dans la plupart des cas, l’analogique reste complètement magique, en affichant une dynamique et une ouverture sonore subjectivement supérieures au numérique ! Même sur les récentes rééditions CD des Beatles, dont le transfert depuis la bande analogique a été soigné pour se rapprocher, justement, du vinyle, ce dernier garde le dessus avec plus ou moins d’aisance selon les disques. Dans ce contexte, la Lyra, au prix élevé mais encore raisonnable, compte tenu de la technologie et du savoir-faire qu’elle reflète, ne se contente pas de faire de la figuration ! En matière de timbres, vous l’aurez compris, la Delos s’aligne sur la neutralité des meilleurs lecteurs de CD… Du moins lorsqu’elle est chargée par moins de 100 Ω. Inutile, comme le précise la notice, de monter au-dessus, au risque de tomber dans l’acidité dans le haut du spectre.    Pour autant, en s’éloignant résolument de la restitution, certes chaleureuse mais colorée, d’une Denon DL103, pour ne citer qu’un exemple que nous connaissons tous, la Delos peut faire valoir une précision et une lisibilité remarquables, y compris dans le bas du spectre, avec seulement une petite remontée dans le bas médium, qui était peut-être due à la configuration de notre platine de référence.    En comparaison, la Condor, qui coûte au bas mot trois fois plus cher, en offre évidemment (et heureusement !) plus, notamment en matière d’aération et d’image sonore. On est clairement dans la même famille. Avec la Delos, tout est déjà là et bien là, mais concentré sur une plage dynamique déterminée, là où la Condor dévoile une dimension supplémentaire derrière les enceintes, un aigu encore plus fin et un grave mieux défini. C’est flagrant sur le dernier album de Lhassa, dont l’enregistrement privilégie la sensation de présence. La présentation qu’en fait la Condor est tout simplement exceptionnelle de musicalité, en particulier dans le haut du spectre, à la fois doux et parfaitement défini. Néanmoins, la Delos, loin de démériter, en offre déjà largement assez pour donner envie de délaisser le CD pour le vinyle ! En matière d’énergie et de bande passante, on est très au-dessus de ce que j’ai pu écouter ailleurs avec une bobine mobile traditionnelle de cette catégorie de prix. La restitution est pleine, vivante et modulée, au point d’en oublier très vite le support pour se laisser aller, sans arrière-pensée, au simple plaisir de la musique. Une sensation de naturel qui vient aussi de sa prédisposition à faire la différence entre les enregistrements, grâce à cette absence de coloration qui permet d’apprécier à sa juste valeur le travail effectué en amont sur le disque.    En conclusion :  Avec la Delos, Lyra propose une cellule MC particulièrement impressionnante pour son prix ! Ses qualités de précision, de transparence et de neutralité l’imposent comme l’un des meilleurs choix de sa catégorie et confirme le bien-fondé des innovations techniques développées par ses concepteurs. Loin de l’écoute un peu romantique proposée par certaines de ses concurrentes, cette nouvelle Lyra fait honneur au principe de la haute-fidélité, qui consiste à se rapprocher le plus possible des informations gravées sur le disque noir. Bien sûr, il est toujours possible d’aller plus loin, mais dans ce dessein, il faudra dépenser beaucoup plus et bénéficier, cela va de soi, d’une platine et d’un bras de très haut de gamme. En attendant, à travers les écoutes faites avec la Delos, on peut attendre avec une certaine impatience la mise à jour des modèles supérieurs du constructeur américain, qui devrait intervenir dans les mois qui viennent…    Spécifications : [*]Design : Jonathan Carr [*]Construction : Yoshinori Mishima (assemblage final et test), Akiko Ishiyama (assemblage de base) [*]Type : cellule à bobine mobile à basse impédance, poids moyen et compliance moyenne [*]Réponse en fréquence : 10 Hz – 50 kHz [*]Séparation des canaux : > 30 dB à 1 kHz Construction :  [*]Système de cantilever : tige en bore, avec contacts de stylet Namiki microridge et suspension monopoint [*]Bobine : cuivre pur, impédance interne de 8,2 Ω, inductance de 9.5 uH [*]Tension de sortie : 0,6 mV à 5 cm/s (disque test CBS) [*]Compliance : approximativement 12 x 10 cm/dyne à 100 Hz [*]Angle de tracking vertical : 20° [*]Corps de la cellule : aluminium taillé dans la masse [*]Poids : 7,3 g [*]Force d’appui recommandée : 1,7 g – 1,8 g [*]Charge de l’entrée phono recommandée : 91 Ω

 
 

[ThierryN]

Merci Pyrogène,
Intéressant.

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[ThierryN]

J'ai retrouvé qu'en 2013 Gabi  disait , à l'occasion du 1er essai de sa SPU Gold:

"Pour comparer avec ce qui m'avait le plus scotché jusqu'à maintenant, de la Lyra et de la Koetsu (me souviens plus des modèles mais c'était du milieu de gamme, budget en neuf kif-kif à la Gold) : je préfère la SPU sans hésiter ! "

Gabi, si tu passes par ici et que tu puisses retrouver quels modèles tu avais pu comparer .....

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[Vincent]

Le souci avec les lyra , c'est que si tu la charge pas pil poil, ça t'arrache la tronche..
perso , je trouve que ça "découpe un peu la zique" y'a pas de liant en bref, je m'emmerde .
J'appelle ça une cellule d'audiopathe, pas de mélomane. je préfère mille fois une koetsu ou une spu.
Tu veux te séparer de ta black ?????????

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La connerie à ce point là, moi j'dis ça devient gênant...

[ThierryN]

Salut Vincent,
(Le SP14 va bien ?)
Merci, c'est un avis que je retiens, sur les deux points.
La Black me plait beaucoup.
Le problème : c'est une Goldline donc 5 de compliance et qu'elle demande un bras à la fois lourd et avec une articulation très rigide , or je cherche à équiper mon pseudo schröder ; il est lourd mais son articulation ne convient pas ( confirmé par Serge).
Un simple Jelco 12' irait mieux mais je n'en ai pas. Je pense que le 3012 ne conviendrait pas non plus et mon dernier 12 lourd n'est pas tout à fait à la hauteur (essais effectués, c'est décevant).

Donc soit je me sépare du schroeder (peu envisagé), soit  j'envisage de revendre la black goldline pour une autre cellule.
Les Lyra sont montées sur les Schroeder. Mais sans doute des modèles au dessus de la Delos. Et je n'ai pas un large choix de charge.
Une SPU : il faudrait une nue et c'est assez in-revendable. (tout le monde la veut avec sa coquille emblèmatique)
Je resterais donc bien sur une Koetsu qui serait de compliance moyenne  (12) et de budget du même ordre (en occasion).

Rien n'est simple....

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[Vincent]

Salut Thierry,


Oui le SP14 va bien ,très bien même !!
Malheureusement pour toi, toutes les koetsu ( sauf erreur de ma part ) ont une compliance égale à 5 .
c'est clair que sur ton schroeder, une lyra serait plus adaptée pour ce qui est de la compliance mais si tu n'as pas de choix possible pour l'impédance oublie parce que les lyra c'est du style 92.6 ohms etc... ils font leurs transfos sur mesure pour leurs cellules et le prix est aussi sur mesure .


Trouve toi un 12' si tu veux rester chez koetsu. J'ai un jelco 750 black qui dort dans sa boite depuis un certain temps. je ne sais pas encore si je vais l'utiliser, je dois ( normalement  ) récupérer un FR64 S fin de mois... ci c'est le cas, je mettrais le jelco en vente. Si ça t'intéresse tu as mes coordonnées ..

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La connerie à ce point là, moi j'dis ça devient gênant...

[ThierryN]

Merci Vincent,

Presque toutes: La Black -pas goldline- fait 14.

Avec le pré pré J'ai le choix possible pour tout ce qui est inférieur ou égal à 100 ohms (j'ai mis 6 ohms à la Black Goldline, selon la méthode Patrice/Philippe: R calculées montées sur RCA amovibles) . Donc pas de pb pour une Lyra (sauf ton appréciation) . Je n'ai pas de step up. Le SP 15 a des réglages de charge d'entrée (par R aussi) mais c'est moins bien qu'avec le pré pré .

MP pour le jelco (mais je n'ai plus de platine disponible , à galet du moins)

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[Tourne disque]

Un Jelco 12' serait un excellent compagnon pour la Koetsu Black Gold Line, surtout en regard du prix de vente de ce produit qui à mon avis n'a pas de concurrence à ce niveau.

Il faut savoir se faire plaisir, lorsqu'on peut, sans pour autant "déchirer" son portefeuilles inutilement.
Avec ce couple bras-cellule il est fort à parier que plus d'un audiophile serait très content!

PS: merci pour le lien sur la Lyra, très intéressant tout cela, d'autant que le prix est vraiment très bien placé malgré une légère augmentation depuis la parution de ce test.

[ThierryN]

Le Jelco j'y songe.
Mais je ne vais pas laisser l'autre bras sans rien

J'ai tout de même fait l'essai sur le SME3012, suite à la remarque de Philippe qu'avec le poids de la cellule et le contre poids supplémentaire nécessaire le bras est nettement plus en appui sur les couteaux ce qui pourrait contrecarrer les vibrations transmissibles de la pointe.

Je me suis bricolé un contre poids supplémentaire qui est suffisant . Le rendu est nettement meilleur qu'avec mon 12" sur cardan classique, ce que j'attribue au côté un peu rudimentaire de ce bras , conçu par Sourdingue comme juste adapté à la DL103. Et bien au dessus du montage sur le pseudo schröder (CQFD , si neccessaire ). Content d'avoir conservé cette 125.

Le 12" pour DL103:

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[Vincent]

[ThierryN]

Oui, c'était pour montrer que j'avais potassé le sujet  (côté historique) .

J'ai répondu à ton MP, merci.

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[ThierryN]

Retour sur mon sujet :
Lyra Delos: de côté.
La Koetsu : le 3012 m'a laissé tout de même perplexe; Et personne n'a pensé à me dire: "tu as un 929 , c'est relativement lourd, c'est un 10' bien articulé, cela prend des cellules lourdes, vire la DL302".
Cela m'est venu hier soir vers 21h.Vite fait, pas tant que cela. Ce foutu bossage asymétrique pour les TSD 15. Bricolage: confection de deux cales souples permettant de bloquer d'un côté sur le bossage haut et en tension sur l'autre côté. Suppression de la loupe pour gagner en place (cellule trop longue pour le PC)

Monté la cellule comme ça, un peu à l'arrache , dans les trous un peu larges déjà faits pour les Denon, avec un décalage latéral qui rattrape à 90% l'erreur d'alignement constatée avec un stupid protractor . Rajouté un petit poids à l'anti-skatting, rehaussé le bras, pression 1,8 gr. VTA au pif , cellule un peu inclinée vers l'avant mais bon...

Et bien c'est de loin mon meilleur montage !
Je me demande si les cales souples (liège doublé de feutre, découpé dans ces petites protections collées sur les doubles vitrages de fenêtres neuves) ne jouent pas favorablement (vous savez, ces trucs amortissants qui se vendent pour isoler les cellules).

Philippe doit passer mardi, je lui demanderais son avis .
Reste que je n'ai pas équipé le bras unipivot; chez Ma platine ils me suggèrent aussi une Transfiguration AXIA ....

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[JAC46]

tous les vitrages livrés sur chariot sont séparés par ces séparateurs amortisseurs autocollants bi-faces


je peux t'en fournir par centaines ..... ils sont quasiment réutilisables à l'infiini tant que tu n'as pas poser ton sale doigt dessus ! 


je les réutilise partout et c'est gratuit : une efficacité redoutable surtout aux cisaillements ce qui est intéressant dans une utilisation détournée :


à l'horizontal , l'absorption des vibrations (contrôlée par mes soins)  est incroyable et surtout pérenne


un truc simple , efficace et non-idiophile (ça rassurre)

[ThierryN]

Salut Jac!
Tu peux m'en garder quelques exemplaires pour le jour de ta visite ? Ces petits carrés peuvent servir. 

Au passage, puis-je suggérer : "tant que tu n'as pas posé ton doigt sale dessus" ? (je sais, tu travailles , toi. Moi plus , j'ai le temps de fignoler la frappe ) .

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[bebege]

Amha, on compare des choux et des carottes...
Je m'explique.
Il faut quand même bien séparer deux grandes familles de cellules : les modernes et les romantiques.
La lyra fait parti des modernes. Les spu, les koetsu, les myabi plutôt du côté des romantiques.
Autre point, les romantiques demandent un bras lourd en général.
Sinon, en effet, les lyra demandent un réglage précis car elles sont chatouilleuses.


a+

[ThierryN]

Bonjour Bebege,
J'aime bien ce classement.

Mais ou mettrais -tu la TSD15 ?
Précisément je cherche une alternative à la TSD15 et si sa compliance n'excluait pas la Koetsu Black (cause articulation du bras à équiper) elle m'allait très bien.

 As-tu des idées pour: "famille Koetsu Black compliance  12 / 14"   ?

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[bebege]

Pour moi, la tsd15 fait parti des modernes. Dynamique et assez "droite" dans le rendu.
Concernant la compliance, la moyenne actuelle des MC est aux alentours de 15.
L'écart 12/15 n'est pas trop significatif.
Enfin, l'usage d'un unipivot est différent d'un traditionnel et sa masse est moins critique et plus rare en 'lourd'.
Certaines autres ortophon peuvent être médianes comme les mc20, kontrapunkt par exemple.


a+

[ThierryN]

Tu sembles assez fin sur le sujet. Je suis d'accord sur le classement de l'EMT.

MC20 j'ai.Timbres très beaux, définition du grave un peu légère .

Il y a la descendante des Kontrapunkt: la récente Cadenza Black . Devrait aller, tant sur le pseudo schröder que sur l'entrée pré pré. (100 ohms que je peux ramener à 50)
Budget: un peu limite mais ...

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